dimanche 17 juillet 2016

Faire le deuil de sa « carapace »



Publié par Diane Leblanc le 17 Juil, 2016 dans CHRONIQUES, Diane LeBlanc, DIVINE PRÉSENCE, MANCHETTES


Tout le monde en parle! Nous sommes en période de mutation, nous ressentons les effets de cette profonde transformation dans tout notre Être, comme dans tout ce qui se passe autour de nous. Or, cette métamorphose ne se fait pas sans les douleurs habituelles de l’enfantement.

De la même manière qu’une chenille prend beaucoup de temps à devenir papillon, il importe d’accompagner ce changement vibratoire dans la douceur, la compréhension et, ultimement, avec une grande patience, en particulier envers soi-même.

Nous souhaiterions que tout se passe « vite », que nous soyons « déjà arrivés ». Toutefois, même le papillon qui sort de son cocon doit prendre le temps de bien déplier ses ailes. S’il va trop vite ou que quelqu’un tente de l’aider, il risque d’être hypothéqué pour le restant de ses jours.

Il importe donc de voir cette nouvelle naissance comme celle d’un bébé qui vient au monde : il a besoin d’être accueilli, soutenu, protégé… et éduqué.

De plus en plus, nous nous libérons de notre « petit moi » intérieur, cette partie de nous qui a l’habitude de tout contrôler.

En se connectant chaque jour davantage à notre Essence Divine, nous ressentons de plus en plus cette « expansion lumineuse » qui s’infiltre dans chacune de nos cellules pour nous faire goûter à de merveilleux moments d’extase, d’état de Grâce absolue.

Puis, la vie reprend son cours et on a l’impression qu’une vague houleuse s’abat sur nos têtes. Que nous replongeons dans la noirceur et la lourdeur du plan matériel… appesanti par l’intensité des émotions ou des soucis qui nous accablent. Et si tout cela n’était que le reflet de la partie de nous qui n’a pas encore osé sortir de sa coquille?

Notre personnalité, cette carapace que nous avons endossée toute notre vie pour mieux nous protéger des « dangers » extérieurs, est comme une protection inconsciente qui nous colle à la peau.

Elle nous a servi d’armure pour empêcher que les autres puissent nous faire du mal, nous faire souffrir ou nous atteindre au plus profond de nous-mêmes.

Suite : http://lapressegalactique.com/2016/07/17/faire-le-deuil-de-sa-carapace/

 

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