mardi 31 mai 2016

Être soi, c’est être au-delà de soi



Porté à votre conscience par Arcturius,
le 31 mai 2016

Silence 

Le mental définit le silence comme une absence de pensées.

Cette définition est juste, mais incomplète. Le silence est beaucoup plus qu’une absence de mots ou de dialogues intérieurs, où de petites voix dans la tête provoquent parfois un vacarme ahurissant. 


Le couple … une pièce de théâtre ? Partie 2/2




6988060-10687139-compressor 


En fait, les deux protagonistes sont dans une construction émotionnelle et mentale à libérer au profit de quelque chose de plus sain, plus respectueux et amoureux de soi-même ce qui n’a rien à voir avec l’égoïsme mais plutôt avec l’autonomie, la reconnexion avec soi afin de nous offrir ce que la plupart du temps nous n’avons pas reçu.

D’ailleurs, si nous l’avions reçu, nous nous serions construits différemment et ne serions pas dans la situation de couple difficile où nous sommes, nous aurions attiré une autre personne.

Je crois vraiment que nous revenons sur terre et d’autant plus à cette époque pour apprendre à nous découvrir et nous aimer dans ce que nous croyons être une imperfection mais bien sûr il n’y en a pas. Nous sommes seulement dans un jeu pour apprendre et grandir.

Le problème est que ce jeu fait mal et nous cherchons à nous en extraire mais s’il n’y avait pas cette douleur, est ce que nous chercherions des solutions, est-ce que nous saurions évoluer dans quelque chose qui serait toujours paisible et heureux ?

Comment pourrions-nous être, entrer en réaction si nous demeurions dans la béatitude ? D’où la nécessité du jeu humain sur terre.

Ce que nous cherchons se trouve pourtant juste derrière nos propres empêchements intérieurs au bonheur.

Nos blessures intérieures sont responsables des personnes que nous attirons dans notre vie et le but n’est pas de souffrir mais de grandir sauf que la plupart du temps nous ne savons faire autrement que souffrir parce que nous n’avons ni la connaissance ni le mode d’emploi pour sortir de la souffrance.

Lire cet article sur : http://lapressegalactique.com/2016/05/31/le-couple-une-piece-de-theatre-partie-22/

 

Se libérer de ses émotions

1



L’émotionnel ne provient pas des sensations mentales de base de l’être humain, ni de sa culture, mais est issu de nos schémas individuels C’est pour cela que l’émotionnel est propre à chacun. Deux personnes placées devant une situation similaire auront des ressentis très différents. Ce n’est pas la situation extérieure qui est en cause mais la structure individuelle propre à chacun.

Cette structure s’élabore sur plusieurs niveaux. Quelle que soit la culture ou l’époque, les humains ont un corps physique particulier qui leur permet d’expérimenter la réalité à travers leurs organes sensoriels. D’un autre côté, nous avons une façon fondamentale de structurer mentalement cette réalité sensorielle avec le langage :

– D’abord on voit, on entend…
– Puis on met des mots appris culturellement sur ce qui est perçu,
– Enfin on structure cette réalité avec notre esprit.

Nous n’avons pas conscience, le plus souvent, de ces trois différents niveaux que nous mélangeons et nous pensons saisir une seule et même réalité en laquelle nous croyons. Nous vivons nos émotions et nos sensations à travers cette triple structure qui définit ce que nous sommes en tant qu’être humain à un niveau normal.

Nous sommes parfaitement convaincus de la réalité véritable de notre perception humaine physique et mentale: la réalité de nous-mêmes, de cette terre… et de cette conviction proviennent le ressenti puis les émotions. Si nous croyons conceptuellement que quelque chose n’est pas bon, nous nous disons simplement: “Ce n’est pas bon, je n’en veux pas”, sans en être perturbé. Mais si nous y croyons beaucoup plus profondément, cela devient émotionnel: “C’est épouvantable, je déteste ça”, on se sent attaqué. L’émotionnel est donc un ressenti mental très fort, très puissant.

Suite : http://channelconscience.unblog.fr/2016/05/30/se-liberer-de-ses-emotions/

 

Quand on a le soleil en soi, les tempêtes importent peu



Publié par LaPresseGalactique.org le 31 Mai, 2016 dans OUTILS EVOLUTIFS

Quand-on-a-compressor 


Quand on porte le soleil en soi, la vie déclenche ses aspects les plus précieux, et plus rien ne peut nous arrêter.

Ce sont des instants vitaux durant lesquels nous réussissons à laisser derrière nous l’adversité et où nous apprenons à aller de l’avant avec plus d’assurance.

L’ombre, les erreurs du passé ou les personnes qui s’approchent pour essayer d’éteindre nos lumières n’importent plus vraiment : le soleil intérieur perdure.

En effet, vous savez mettre en priorité et écouter d’abord ce qui importe vraiment dans la vie : être heureux.

Parfois, nous regardons le ciel et nous découvrons un soleil immense et solitaire. Peu importe les années, ni ces journées où les nuages le recouvrent : il n’arrête jamais de briller.

C’est la même chose avec les gens. Nous naissons tous avec notre propre lumière, nous avons tous la capacité de briller, mais le soleil avec lequel nous venons au monde perd parfois de la force à cause des nuages passagers, ou de l’influence d’autres personnes qui sont capables de l’éteindre un peu plus chaque jour.

Ne permettez pas cela. Ne laissez rien ni personne enlever cette splendeur à votre capacité à être heureux. Vous devez savoir rallumer ce moteur intérieur en permanence.

Comment apprendre à « revivre » le soleil que vous cachez en vous ?