dimanche 31 août 2014

Suis-je vraiment belle ?



« Cher Saint-Germain, je connais une femme qui est très belle, sûre d’elle et charmante. Elle m'a invitée à être son amie et a promis de m'aider à améliorer mon look et à me sentir mieux. Mais chaque fois que je suis près d'elle, elle critique mon apparence avant de m’offrir un quelconque soutien. Du coup je me sens affreuse et trahie. Que dois-je faire ? »

Très chère. C'est moi, Jésus, avec ma compagne, Miriam (Marie-Madeleine), et mon ami, Saint-Germain. Nous aimerions vous parler de vos sentiments d'insécurité. Depuis un certain temps maintenant, vous vous sentez très anxieuse quant à votre pouvoir de séduction en tant que femme. Calmez vos peurs. Nous sommes là pour vous rappeler que ce qui est véritablement beau en vous est votre Divinité.

Qu'est-ce que l'idéal féminin ?

Ma chère, l'insécurité que vous ressentez au sujet de votre charme en tant que femme ne date pas d’hier. Elle n'a rien de nouveau pour vous. Vous avez trouvé des moyens de vous en accommoder, mais cela vous a quand-même empêchée de vous sentir pleinement validée en tant que femme, et cela vous perturbe.

Vous avez mentionné dans votre question que ce problème a été porté à votre attention par une femme qui est présente dans votre vie en ce moment. Vous dites que cette femme semble avoir un effet hypnotique sur vous. À vos yeux, elle semble incarner tout ce qui constitue l'idéal féminin. Elle possède une beauté magique et un esprit engageant ; et son charme, son l'équilibre, et sa spontanéité confiante semblent toujours retenir l'attention des autres.
Vous aimez la fréquenter, bien sûr. Et pourtant, quand vous
 êtes avec elle, vous ne savez jamais si elle va vous valider par l'attention qu'elle vous porte, ou entretenir votre sentiment d’être petite et insignifiante.

Les guides de Lumière, ou guides spirituels



Porté à votre conscience par Arcturius,
le 30 août 2014

Nos-guides 


Les guides de Lumière, ou guides spirituels sont des êtres d’amour, des entités qui vivent sur des plans supérieurs.

Comme leur nom l’indique, ils nous guident, ils nous accompagnent et nous protègent.

On peut les rapprocher de ce qu’on appelle les anges gardiens. Il ne faut pas les confondre avec nos proches décédés, qui nous aiment et nous protègent. Les guides de Lumière ont fini leur cycle d’incarnation, mais ils sont à même de nous comprendre profondément, et de nous aider véritablement.

En effet, au cours de leurs anciennes vies, ils sont passés par où l’on passe. Ils ont vécu les tourments humains, ils les connaissent bien, et ils ont réussi à s’en défaire et à s’épurer. C’est pourquoi ils ont pu monter de plus en plus vers la Lumière. Ils ont pour nous un amour inconditionnel. Ils ne nous jugent pas, jamais, quels que soient nos actes, ou nos paroles. Ils sont très attachés à nous, et oeuvrent sans relâche pour que nous avancions sur le bon chemin, celui de l’amour et de la beauté du monde. Ils respectent notre libre arbitre, et nous suggèrent les choses, sans jamais rien nous imposer. C’est à nous de suivre notre voie.

Nous pouvons avoir un ou plusieurs guides spirituels en même temps, suivant les moments de notre existence. Un guide peut rester auprès de nous durant toute notre vie. Mais il peut également y avoir différents guides qui vont se relayer dans notre vie, en fonction de notre évolution, et de ce que l’on a à apprendre ou à vivre sur le plan terrestre.

 

Retrouver son âme d’enfant



Publié par LaPresseGalactique.org le 31 août, 2014 sous CONSCIENCE

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Par Anila et Siria

Courir sous la pluie la bouche ouverte pour attraper les gouttes, sauter dans les flaques les 2 pieds joints, rire spontanément quand l’envie nous en prend, faire de même avec les pleurs qui se présentent quelle qu’en soit la raison…

Tout ceci est le quotidien d’un enfant. Il s’exprime par tous les moyens : son corps bouge, se trémousse, se dandine ou sautille quand il entend de la musique, se contracte et se rebelle quand quelque chose ne va pas, se détend sous la main apaisante qui le masse et l’embrasse ; tout son visage reflète fidèlement et ouvertement les émotions qui passent en lui (et justement ne font que passer puisqu’il ne les retient pas), s’illumine quand il observe un papillon, une fourmi ou un rayon de soleil qui perce à travers les branches d’un arbre ou quand il sent un doux souffle passer sur lui, se friponne quand il ne se sent pas compris…

Il tend le bras quand il veut attraper quelque chose et rejette quand cela ne l’intéresse plus, et peut observer ce qui se passe devant lui pendant des minutes qui semblent des heures tant sa concentration est intense dans le but d’appréhender ce monde étrange qui l’entoure, de percevoir et de comprendre – par lui-même, en lui-même, l’univers entiers.

Où est passée notre âme d’enfant ?

Qui donc s’autorise, une fois « adulte », à danser en plein magasin dans les bras de son amoureux quand passe une musique qui peut pourtant faire oublier tout ce qui n’est pas ce doux regard qui nous transmet son amour ainsi que le contact des bras autour de soi ?

Qui donc ose exprimer ouvertement ce qui passe en lui, une émotion, un ressenti, une peine, une joie, une observation, sans peur du jugement, du regard de l’autre, sans se juger soi-même au point de se censurer avant même que quoi que ce soit ne transparaisse sur le visage ou dans les paroles ?

Qui donc se permet de laisser une place à sa frustration, sa colère, sa déception, son chagrin, sa douleur, tout autant qu’à sa joie, son amour, son enthousiasme…?

Chaque émotion que nous retenons reste inscrite quelque part dans notre corps et cherchera à sortir d’une façon ou d’une autre. Elle risque ainsi de s’amplifier, ou de sortir sous une forme déguisée qui ne nous permettra plus d’identifier la source de ce qui se passe en nous… Les émotions bloquées s’accumulent parfois, au point de donner naissance à différentes maladies qui expriment dans notre chair, en maux, ce que nous n’avons pas su reconnaître sur le moment.

Chaque ressenti que nous gardons pour nous, qu’il nous concerne ou qu’il concerne d’autres personnes, est une perte d’information précieuse qui aurait pu éclairer un évènement, aider à solutionner un problème, ou soulager une douleur. Si je vois une personne et qu’à l’intérieur de moi l’impression qui me vient est qu’elle est triste, stressée ou qu’elle a un problème quelconque, si je m’autorise à le lui formuler – comme mon ressenti et pas comme une vérité absolue, ce qui est très différent -, à « l’interroger » pour confirmer ou infirmer mon ressenti, non seulement elle aura une possibilité de parler et d’être écoutée et peut-être que cela la soulagera, mais également je ne resterai pas avec une image intérieure (consciente ou non) potentiellement faussée sur cette personne. Il est même possible que le fait d’en discuter permette de débloquer une situation !

Qu’attendons-nous pour réapprendre à nous écouter, à communiquer, à rayonner nos sourires au lieu de les réprimer « par convenance », à pleurer pour libérer la pression quand le corps en donne l’impulsion, à trouver un endroit où crier ce que nous avons sur le coeur (une pièce isolée, une forêt, face à la mer, ou pourquoi pas même en pleine rue si la « décharge » est urgente), à suivre les mouvements qui naissent dans notre corps…?

Belle journée à chacun-e de vous, je vous souhaite d’exprimer chaque fois que possible ce qui se passe en vous par des mots, des gestes, des actions (…) et ainsi de transcender à chaque instant ce qui doit l’être. Ainsi sera libérée l’énergie qui aura plaisir à recirculer librement en chacun de nous !

Source : http://onde-ascension.net/retrouver-son-ame-denfant/

Trouvé sur : http://lapressegalactique.net/2014/08/31/retrouver-son-ame-denfant/