vendredi 19 septembre 2014

Un mauvais sommeil ? Des pistes !



Porté à votre conscience par Arcturius,
le 18 septembre 2014

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En moyenne, nous dormons environ 8 heures par nuit mais pour certains 5 heures de sommeil suffisent : ce sont les « petits dormeurs », d’autres ont besoin de 9 à 10 heures de sommeil : ce sont les « gros dormeurs ». Certains sont « du matin », d’autres « du soir ».
Ces besoins en sommeil différents d’un sujet à l’autre sont génétiquement déterminés et hérités de nos parents. Notre besoin fondamental en sommeil se heurte souvent aux exigences et aux contraintes de notre vie socio- professionnelle. Si ces conflits sont trop importants ou trop répétés, nous risquons de dégrader nos rythmes biologiques et cycles de sommeil et voir apparaître une sensation de fatigue, de malaise, ou d’insomnie de surmenage. C’est ce qui nous arrive le plus souvent quand notre vie professionnelle nous oblige à un travail de nuit…
Le fait de bien dormir peut être résumé à trois critères :
  • avoir un endormissement facile,
  • réaliser des nuits complètes sans réveil nocturne,
  • présenter un réveil naturel pour se sentir en forme tout au long de la journée.

Les conséquences d’un mauvais sommeil

30% de la population ont, actuellement, présenté une insomnie occasionnelle (quelques jours) ou à court terme (moins d’un mois).
Un sommeil de bonne qualité se définit par l’absence de somnolence pendant la période d’éveil. Qu’il soit de mauvaise qualité ou en quantité insuffisante (dette chronique de sommeil).
L’âge est aussi un facteur important dans l’organisation de notre sommeil. Il est évident qu’un enfant ne dort pas comme une personne âgée.
A partir de 40 ans, en général, le temps de sommeil diminue et l’on se réveille plus tôt.
Nous supportons aussi beaucoup moins bien les changements de rythme. Nous nous remettons facilement d’une nuit blanche à 20 ans… beaucoup moins à 40 ans. Notre sommeil s’allège. Les réveils nocturnes sont plus fréquents et les réendormissements plus difficiles. Et, plusieurs éveils nocturnes donnent souvent l’impression de ne pas avoir fermé l’oeil de la nuit…
Les conséquences d’un mauvais sommeil sont les suivantes :  
  • fatigue et somnolence diurne avec risque accru d’accidents du travail ou de la circulation ;
  • difficultés de concentration et manque d’attention (baisse de performances) ;
  • troubles de la mémoire ;
  • troubles de l’humeur ;
  • modification de l’envie de manger (augmentation des quantités consommées, risque de surpoids et d’obésité).

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