vendredi 26 septembre 2014

Nos formes pensées, une fois émises, laissent leur empreinte sur les murs



Porté à votre conscience par Arcturius,
le 26 septembre 2014

99086479

* Village du Limousin où furent massacrés officiellement 642 villageois par une panzerdivision allemande SS le 10 juin 44.

Même sans statue érigée à notre effigie, même sans notre nom dans les livres d’histoire, nous laissons des traces énergétiques de notre passage. Les premières sont dans notre lignée génétique. De la même manière que nous avons hérité des problématiques non réglées de nos ancêtres, nos descendants récupéreront sans doute les nôtres. Les autres traces sont inscrites dans notre environnement quotidien. Toujours le même principe, nos (fortes) pensées, nos émotions, nos formes pensées une fois émises laissent leur empreinte sur les murs ou plus globalement, à l’endroit où elles sont émises. Ainsi nul besoin d’être sur un lieu de crime ou de massacre pour avoir une désagréable sensation (à ce sujet, ce n’est pas la sensation qui est dangereuse mais bien ce qui la cause). Il suffit comme nous le mentionnons dans l’exemple donné ici, la personne « hébergeait » dans sa salle de bain ainsi que dans sa propre chambre, des émotions de colère liées à un divorce difficile et dans une autre chambre, anciennement celle de l’enfant, une émotion d’infinie tristesse. Ces énergies, se nourrissaient de la mémoire des murs tout en l’entretenant elles aussi à leur tour. La propriétaire nous avait expliqué que son divorce appartenait maintenant au passé et que tout avait été « digéré ». La présence de cette mémoire et l’énergie de colère révélaient en fait le contraire. Cette personne subissait leur influence négative mais l’entretenait elle aussi par sa propre colère refoulée. Comment pouvait-elle se sentir bien et surtout s’épanouir dans un tel contexte ? D’ailleurs sa principale motivation pour nous faire venir avait été que sa salle de bain était en chantier depuis un an (les travaux s’éternisaient, le bac de douche arrivait cassé etc) et que plus généralement, plus aucun ami ne venait la voir depuis qu’elle habitait ici… Après l’harmonisation et aux dernières nouvelles, amis et famille ont renoué avec elle et la maison est de nouveau accueillante. Je rappelle au passage que l’efficacité de la réharmonisation passe par le « nettoyage » énergétique du lieu, la prise de conscience et la reconnaissance de l’origine du déséquilibre par l’habitant.

À lire sur : http://www.arcturius.org/chroniques/formes-pensees-fois-emises-laissent-empreinte-les-murs/

1 commentaire:

Le Gallinacé a dit…

Ah oui, surtout que cette histoire est un pipeau !