vendredi 4 octobre 2013

LE NIRVANA SANS PEINE

Publié par le 4 oct, 2013 sous CHRONIQUES, Frank Hatem, HYPERSCIENCE, MANCHETTES

beau-paysage-au-canada 
Comment retrouver la paix et la joie
dans un monde qui a l’air en perdition


Une seule mission : ajouter de la beauté au monde…
EN ETANT PLUS BEAU soi-MEME

L’énergie suit la pensée car elle en est la manifestation. Il n’y a pas d’un côté la lumière et de l’autre la matière. Il y a l’un qui est la réalité de l’autre, sa manifestation sans laquelle le Principe ne serait pas, l’autre n’étant que le Principe lui-même. Tout comme l’univers est la manifestation effective du fait que le Néant est une nécessité. Il n’y a rien besoin de plus. La nécessité n’en est une que si elle se manifeste effectivement.

L’univers en est le seul moyen. Une nécessité est forcément irréalisable, sinon ce n’est pas une nécessité : elle serait déjà (et donc, dans le cas du néant, la nullité serait infinie, on en a déjà expliqué ici l’impossibilité). Pour être nécessaire, il faut ne pas être. C’est le paradoxe du néant, le paradoxe de l’Etre, le paradoxe de l’univers (les trois Portes sur chaque face cardinale de la Jérusalem céleste »). Inutile de chercher à sortir de ce paradoxe.

C’est vers cette unité qu’on va. Mais comme on n’y arrive jamais, on est toujours dans la « Jérusalem terrestre ».  Ainsi c’est l’infini qui est nécessaire, mais en fait il n’y a que le fini. Tout est sous forme finie. L’infini n’est pas, il n’est qu’une nécessité absolue. Comme il ne peut pas être (parce qu’infini), alors tout le reste (tout le fini) est. En tout cas « semble être », cette « semblance » étant l’esprit. Il n’y a pas d’esprit percevant l’univers : il y a un processus de perception qui engendre à la fois moi, que je crois être et avoir conscience, et l’univers, auquel je crois parce que c’est la forme de ma conscience. Mais ni moi ni l’univers ne sommes. Ce qui est, c’est la nécessité contrariée de l’infini. Là où elle est contrariée, c’est-à-dire partout, se situe l’apparence du grain matériel, la particule solide, la conscience (la conscience est conscience de matière). Heurt entre deux nécessités contraires. Tout, moi, mon esprit, mon univers, tout est donc matériel en apparence, et il n’y a que cela. Il n’en reste pas moins que cela est illusion, la réalité étant le processus d’illusion lui-même et non son apparent résultat.

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