Depuis 2011 des scientifiques anglo-saxons ont commencé à
publier assez massivement des résultats d’expérimentations et des modèles
théoriques qui réaffirment la validité du concept de
rétrocausalité (retrocausation en anglais), initialement proposé par le
français Olivier Costa de Beauregard pour interpréter la fameuse expérience EPR
d’Alain Aspect (1982).
Ancien directeur de recherche au CNRS aujourd’hui
décédé, Olivier Costa de Beauregard a été « marginalisé » par la
« communauté scientifique » parce que son interprétation semblait
cautionner la parapsychologie.
Il est vrai qu’à l’époque les physiciens étaient
encore très formatés par une conception du temps qui a volé en éclats
aujourd’hui. Dans le cadre d’un temps qui s’écoulait encore et d’un futur non
déjà réalisé, le concept de rétrocausalité pouvait en effet paraître
impensable… mais aujourd’hui les choses basculent et c’est la causalité à sens
unique qui devient elle-même de plus en plus impensable.
C’est envisager qu’une conséquence puisse être la cause d’un évènement présent (certains vous diront futur, mais c’est présent le bon mot a utiliser). Autrement dit, que le présent crée le passé.
C’est un modèle qui heurte la compréhension habituelle de la flèche du temps, et cela nous amène à reconsidérer ce qu’est « le temps ».
Comprenons que la conscience est centrale dans toute analyse, puisque c’est l’observateur qui créé l’expérience et non l’inverse, de la même façon que de la Conscience nait la matière.
Ceci a été prouvé lors de l’expérience de la double fente dans laquelle les scientifiques ont projeté un photon.
À lire sur le site : http://www.espritsciencemetaphysiques.com/retro-causalite-physique-quantique.html
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