lundi 23 septembre 2013

Gaïa parle – Comment entendre nos guides

Publié par le 23 sept, 2013 sous Inelia Benz

inelia44Inelia Benz

Quand nous nous ouvrons pour recevoir des messages et des conseils de notre Soi Supérieur, Source, Gaïa, Mère Divine, Père Divin, les Guides et les Anges – ce que j’appelle « notre entourage », nous devenons souvent réceptifs et ouverts pour recevoir ce qui vient. Mais alors, quand cela arrive, nous le manquons. Je reçois beaucoup de courriels me demandant comment être capable d’entendre notre entourage, comment discerner que c’est à partir d’une source positive et bienveillante, et comment comprendre ce qu’ils veulent dire.

Comme nous le faisons tous, la première chose est de nous ouvrir à recevoir les conseils et les informations. Deuxièmement, nous apprenons à discerner ce qui est « réel » de ce qui vient de l’ego ou des entités négatives. Nous faisons cela en nous connectant à notre corps et en l’écoutant très attentivement. Nous écoutons avec notre corps et le corps nous le dira. Par exemple, un pincement dans le ventre quand quelque chose ne va pas bien après que nous en ayons parlé. Ou l’ouverture du cœur quand nous exprimons l’amour et le bonheur.

Troisièmement, nous devons établir un langage que nous comprendrons lorsqu’il nous faut recevoir des informations. Les peuples autochtones du monde entier ont fait cela durant des millénaires. Le langage que nous établissons alors est fondée sur notre culture propre, très subjective et souvent incomprise des autres, sauf si nous l’expliquons. Par exemple, quelqu’un pourrait dire qu’une personne va lui rendre visite ce jour-là, car une feuille est tombée d’un arbre particulier, pendant qu’un oiseau rouge a commencé à chanter à exactement 11h11 ce matin-là. Et bien sûr, sans avoir prévenu, le visiteur arrive plus tard dans la journée.

Il y a plusieurs années, j’ai lu un livre de Paulo Coelho, un de mes écrivains préférés. Dans le livre, il mentionnait qu’il avait décidé d’inventer un signe pour lui-même concernant le fait d’écrire un livre. Il n’avait pas encore écrit le livre, mais en avait l’intention. Ainsi, il est parti en pèlerinage (il est chrétien) et s’est dit :

« « Si je vois une plume blanche aujourd’hui, alors c’est Dieu qui me fait signe que je dois écrire un nouveau livre. Et puis j’ai vu cette plume blanche dans une vitrine d’un magasin. Et depuis, chaque année, en Janvier, j’ai besoin de voir une plume blanche. Et le jour où je la vois,  je commence à écrire. »

Quand j’ai lu ces mots, j’ai décidé que moi aussi j’utiliserais une plume blanche comme le symbole de mon language-conseils. J’ai décidé que ce devait être un signe positif, quelque chose qui me dirait si j’étais dans la bonne direction, et/ou que je devais prendre connaissance de quelque chose qui m’est destiné.

La manière dont j’obtiens personnellement les plumes blanches est également très significative. L’autre jour, une plume m’attendait devant ma porte, encore une autre est tombée sur mes genoux quand je me suis assise à l’extérieur. L’une de mes favorites m’est parvenue quand mon quatrième enfant avait environ 18 mois.  Comme tout parent à temps plein d’un enfant de 2 ans le sait, j’étais très, très fatiguée physiquement. En plus, je recevais l’information pour un livre et je ne savais pas si je devais commencer à l’écrire dans cet état de fatigue (l’énergie que nous avons lorsque nous écrivons ou parlons est portée par les mots et atteint les autres), ou si je devais en abandonner l’idée quelques années jusqu’à ce que mon garçon soit un peu plus âgé.

Nous sommes allés au parc et j’étais dans mes pensées intérieures, demandant une plume blanche si vraiment je devais aller de l’avant avec le livre; à un moment, mon tout-petit insistait qu’il ne voulait pas utiliser la poussette; il a commencé à gambader de ci de là sur le chemin. Tout d’un coup il s’est dirigé vers un arbre. Il fait chaud ici, à Sacramento, donc un arbre est toujours une aire de repos bienvenue. J’ai mis la poussette dans l’herbe et l’ai suivi. Il a couru plus vite, est tombé à plusieurs reprises, s’est relevé et a couru encore; et quand il a atteint l’arbre, il a commencé à faire toutes ces petites voix charmantes que les bambins font quand ils trouvent quelque chose de génial.

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