Transmis par Joeliah le 15 - octobre - 2014
Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent
mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.
Lâcher prise, ce n’est pas couper les liens mais
prendre conscience qu’il ne doit pas y avoir contrôle d’autrui.
Lâcher prise, c’est reconnaître ses limites, c’est à dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.
Lâcher prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même.
Lâcher prise, ce n’est pas prendre soin des autres mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, ce n’est pas « assister » mais encourager.
Lâcher prise, ce n’est pas juger, mais accorder à autrui le droit d’être avec toutes ses imperfections comme champ d’expériences.
Lâcher prise, ce n’est pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n’est pas rejeter, c’est au contraire accepter.
Lâcher prise, ce n’est pas harceler, sermonner ou gronder mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s’en défaire.
Lâcher prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier sans oublier de s’aider soi-même.
Lâcher prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui, mais s’efforcer de devenir ce que l’on rêve de devenir.
Lâcher prise, ce n’est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l’avenir et aussi pour maintenant.
Lâcher prise, c’est craindre de moins en moins pour aimer de plus en plus.
Serge Ritzenthaler
Image Mario Duguay
© 2014, Le Jardin de Joeliah. Merci de citer la source : lejardindejoeliah.com
http://lejardindejoeliah.com/2014/10/15/lacher-prise-2/
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