Transmis par Joeliah le 26 - octobre - 2014
Dans une vision élargie de la mort, la perspective
d’abattement et d’injustice de la perte ne tient plus.
Il n’y a plus de perte, il n’y a que
transformation, il n’y a plus de colère, il y a de la compréhension, il n’y a
plus de vide, il y a tout un espace à découvrir.
La mort devient, pour celui qui part, un passage
choisi vers d’autres horizons nécessaires à son évolution, et pour ceux qui
restent, elle constitue une importante leçon de détachement planifiée avant
l’incarnation.
Dans cette optique, la mort devient un vrai «
présent » à vivre et non plus un passé à se remémorer sans cesse.
Aucune espèce n’est immortelle sur terre, mais
l’humain est sûrement la seule espèce à l’appréhender avec ses comparses nommés
peur, souffrance, doute et l’envisager comme ultime finalité.
Le cycle de la vie et de la mort sert exclusivement à notre évolution, comme pour les végétaux avec les saisons, au printemps ils naissent, l’été ils sont épanouis, l’automne ils commencent à décliner, l’hiver plus de sève et au printemps, ils renaissent pour un nouveau cycle, les journées sont identiques : le matin, le midi, la soirée et la nuit…dans la vie tout est cycle et toujours en éternel mouvement, jamais rien n’est acquis.
En fait notre mission d’âme est de devenir meilleur, de transition en transition, pour se rapprocher toujours plus de la perfection.
En quittant la terre, l’âme a besoin de poursuivre sa route le plus légèrement possible, sachant que ses proches saisissent mieux la portée de cet « au revoir ».
Lire la suite ici : http://lejardindejoeliah.com/2014/10/26/la-mort-naissance-dune-vie-nouvelle/
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