Porté à votre conscience
par Arcturius,
Chacune des cellules de votre
corps physique porte en elle la manifestation de l’intelligence divine.
Celle-ci maintient stable votre mouvement de vie et exprime en chacun de vous,
par des rituels précis, ajustés et sacrés, une science d’équilibre cosmique.
Ces rituels (réactions immunitaires, maladies, souffrances, douleurs,
changements physiques, etc.) représentent toutes les tentatives pour retrouver
et maintenir l’équilibre dans votre corps physique et dans vos corps
énergétiques. Le but de ces rituels est d’amener à votre conscience des
attitudes, des pensées, des paroles ou des actions qui façonnent ces
inconforts.Votre corps physique est construit à partir de votre propre émanation vibratoire. Il porte aussi en lui-même la sagesse de ce qui est parfaitement adéquat pour vous dans tous les domaines et toutes les situations de votre vie. De plus, il vous dicte vos réels besoins : besoins de repos, de nourriture, d’activités, d’amour, de méditation-sexualité, etc.
Chaque inconfort physique, émotionnel, mental et énergétique correspond à un apprentissage, à une conscientisation que vous avez à intégrer. Chacun amène à votre conscience un aspect de vous à aimer, à approfondir, à découvrir et à comprendre.
Les réactions d’ajustement se définissent par l’ensemble des mécanismes physiques, émotionnels, mentaux, spirituels, cosmiques et énergétiques que vous utilisez dans toutes les situations de votre vie* et qui vous permettent de retrouver et de maintenir votre équilibre à tous les niveaux.
Lorsque vous choisissez d’entreprendre un cheminement d’autoguérison, cela vous amène à comprendre et à redéfinir votre relation avec votre corps physique. Vous êtes alors confronté à la croyance de devoir combattre la maladie (mal a dit), au sentiment qu’elle est votre ennemie, qu’elle est une tare, qu’elle est une réponse punitive à vos actions. Ces attitudes vous placent automatiquement dans la division, le non-amour, le jugement face à vous-même et face à vos maladies.
À lire sur : http://www.arcturius.org/chroniques/?p=32265
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