mercredi 21 septembre 2016

Tout nous est prêté pour un temps, rien ne nous appartient



La perception que l’on a du temps qui passe est qu’il nous échappe. Précisément pour une raison simple, nous essayons de retenir le temps.

Comme nous le pensons limité, court, avec un début et une fin, alors voilà, nous en manquons toujours. Comme pour tout dans la vie, nous courrons après ce qui nous échappe.

Nous voulons toujours plus, plus d’argent, plus de possibilités, plus de liberté, plus d’affection, plus de temps et de moyens, pour profiter de la vie. Ne vivons-nous pas cela pour mieux comprendre ce qu’elle est vraiment?

La vie ne se possède pas, la vie ne se limite pas, la vie est ici et partout, tout le temps, dans le rien et le tout.

Alors pourquoi avons-nous l’impression d’être à contre courant des merveilles qu’elle peut créer? Parce que nous devons réapprendre à respecter la vie.

Nous devons lâcher prise sur le désir de posséder les choses, les biens et les gens que nous aimons, celui qui pense ainsi obtient bien plus encore, plus d’abondance, plus d’Amour, juste parce qu’il a rendu son pouvoir à la vie.

Faites confiance, ayez confiance dans ce que l’instant présent vous apporte et ouvrez votre esprit.

Laissez tomber l’idée restrictive que vous vous faites du temps. Vous avez tout votre temps pour réaliser vos rêves.

Si vous pouviez changer vos croyances sur ce que sont le temps et l’espace, vous pourriez faire l’expérience d’une vie moins stressante, vous vous autoriseriez à prendre tout le temps qu’il vous faut pour vous combler vous même.

Ainsi vous n’auriez plus besoin d’attendre que quelque chose d’extérieur à vous-même le fasse pour vous. Vous auriez pris le temps. 

Vous vous dites: « je n’ai pas les moyens de ne rien faire », parce que vous croyez encore que l’argent est une énergie limitée et qu’il faut se sacrifier pour en gagner. Une fois cet argent gagné, vous le retenez, et il vous manque alors incessamment. 

Juste parce que vous avez eu l’intention de posséder ce qui est un don de la vie, et non le fruit de votre sacrifice.

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