mercredi 17 octobre 2012

Se poser les bonnes questions...

Samira Piana

Où en êtes-vous en ce moment ?

Qu'avez-vous repoussé à plus tard ?

Savez-vous ce qui vous a mené à la procrastination ? Que pourriez-vous mettre en place pour empêcher cet état ?

Avez-vous idée de ce qui vous bloque ?

A l'inverse, vous sentez-vous débordé actuellement ? D'après vous, s'agit-il d'un problème d'organisation ou est-ce la manifestation de tout ce que vous ne souhaiteriez voir ?

Est-ce un moyen de vous rassurer ? Etes-vous rassurés ? Avez-vous envie de changer cela ? Avez-vous envie de changer quelque chose dans votre vie pour ETRE ?

Identifiez ses besoins, quels qu'ils soient, apporte l'éclairage juste sur là où nous voulons aller. Mais pour cela, quelques fois cela nécessite de changer quelque chose pour ouvrir  du mieux qu'il soit la porte sur notre Vie.

Prendre une telle décision peut mettre en péril certaines croyances qui, sans que l'on en ait conscience font barrages. Se dire que l'on est ouvert à tout ne suffit pas.

Il y a aussi tout ce que l'on ne voit pas. Et dans ces circonstances, il faut oser voir ce qui ne nous plaît plus. Il faut risquer de créer quelques turbulences autour de soi.

Mais, dire d'avance que le jeu en vaut la chandelle avant de commencer le travail sur soi n'est pas toujours permis car il y a les égos, méfiants, qui trouveront toujours la bonne excuse pour ne pas agir.
Alors demandons à notre subconscient de laisser notre Moi Supérieur nous guider et décider.
Qu'est-ce qui ne va pas dans ma vie ? Sont-ce mes relations ? Qu'ai-je à apprendre d'elles ? Que dois-je lâcher pour ne plus être en désaccord ? Ou bien, est-ce ma situation professionnelle qui me pose problème ? Puis-je faire quelque chose pour améliorer la situation ?

Il existe des situations dans la Vie où nous ne sommes pas confortables. Celles-ci, lorsqu'elles sont vécues car incontournables, génèrent des manifestations physiques instantanées.

La peur est l'une des émotions les plus paralysantes. Les symptômes sont variables, ils vont des palpitations cardiaques, en passant par l'absence de volonté à l'évanouissement.

Ceci dit, la peur est comme une alarme, elle a pour fonction d'attirer notre attention. A contrario, une peur "pathologique" est une alarme mal réglée qui peut nous faire réagir de manière sans doute excessive comme nous faire rougir lorsque quelqu'un s'avance pour nous parler. On parle alors de phobie sociale.
Le problème est que nous n'avons jamais appris à parler de nos émotions. La première étape est de prendre conscience de ce qui se passe en nous. Ai-je peur ?

Comment je prends contact avec cette peur ?

Je prends le temps nécessaire pour regarder en moi, avec bienveillance et amour. Je la vis en conscience et je la respecte. Elle correspond certainement à un message enfoui dans mes cellules.

Prenons l'exemple de la peur de l'abandon dans la relation à autrui. Ce sentiment se caractérise par l'expression de la souffrance au final puisqu'il crée une dépendance excessive vis à vis du partenaire ou des relations amicales. Il en résulte bien souvent des conflits qui amènent à une dévalorisation de soi. Pour se protéger, la personne évitera de se lier durablement car le scénario à toutes les chances de se rejouer. La personne se donnera corps et âme avec la peur d'être abandonnée quand même. Mais la prise de conscience nécessaire pour évoluer peut nous amener à rencontrer ce qui a provoqué cette peur. Cette rencontre va nous enseigner sur qui nous sommes devenus et quels sentiments "rackets" nous avons mis en place pour nourrir cette peur de l'abandon.

Dès lors nous avançons et pouvons amener un regard plus doux sur qui nous sommes. C'est aussi prendre le temps de s'apprivoiser soi pour une meilleure connexion à l'autre.

C'est réapprendre à s'aimer soi pour enfin aimer l'autre sans condition. La situation de "mal aise" qui s'offre à nous, nous montre toujours que c'est pile l'endroit où nous devons regarder en face les choses.
La vie n'est pas un jeu de piste rempli de pièges. Au contraire, tout est clarté à condition que l'on y mette la conscience, la présence et la volonté.

Alors, peut-on apprendre à vaincre ses peurs ?

Tout est possible, seule la volonté fait évoluer.

Il existe autant de moyens de dépasser ses peurs qu'il existe de formes de peur.

La peur du noir chez un enfant disparaît automatiquement lorsqu'en grandissant il sait qu'il n'existe pas de monstres dans la réalité. La peur de prendre la parole en public disparaît avec le temps par maintes raisons, l'expérience, la confiance en soi, le sujet parfaitement maîtrisé...

Concernant la peur de l'autre (timidité), elle peut se solutionner grâce à différentes techniques adjointes comme le théâtre, la danse, la méditation, la relaxation ou le coaching personnel.

Pour nous tous, à chaque instant, il y a influence et interaction permanente entre nos pensées, nos comportements, nos croyances et nos émotions.

Nos croyances génèrent nos comportements au travers de nos pensées et de nos émotions.

Et si on revoyait nos croyances une à une ? Que se passerait-il ?

Prenons conscience des conséquences négatives de notre croyance sur notre vie.

Prenons conscience des avantages à abandonner notre croyance.

Remplaçons notre croyance limitante par une croyance aidante.

C'est à nous de le décider !


"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles."

Sénèque

Belle journée lumineuse dans vos cœurs à tous les lecteurs de la Presse Galactique

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Source: LaPresseGalactique.com

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