Lorsque notre Mère Nature nous offre le don de vie, et qu’elle nous comble de ses bienfaits, nous lui montrons de la reconnaissance. Lors des rituels, elle est toujours remerciée, et chaque sabbat célèbre une facette de la déesse.
Plus que n’importe qui, nous, païens, avons conscience de la valeur de ce don, de son importance, et de ce que sa préservation ou non implique pour toute la chaîne du vivant.
Lorsque nous nous connectons au monde du vivant en écoutant les arbres, le miaulement d’un chat, nous savons ce que cela signifie. Chacun à sa manière, certes, mais nous savons. Notre être intérieur interpelle notre conscience et la guide pour «voir» et «entendre» au-delà de ce que perçoivent les sens.
Ce qui est enfoui en nous, notre inconscient, fait surface et alors, un arbre devient un organisme vivant, à plusieurs bras, tous tendus vers le ciel, cherchant le soleil et sa lumière. Ses racines deviennent des doigts longs et forts cherchant dans la terre la nourriture qui lui convient. Et son intérieur, un réseau veiné où la sève monte et descend au fil des saisons.
Suite : http://channelconscience.unblog.fr/2016/05/27/se-connecter-au-vivant-et-retrouver-sa-liberte/
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