mardi 13 novembre 2018

Les énergies de ce mois de Novembre servent de propulsion vers de nouvelles perspectives


Selon le niveau d’éveil global que nous atteignons, les embranchements et les possibilités de notre futur s’établissent et nous conduisent aux croisements qui déterminent notre chemin individuel et collectif. Ce mois détermine le monde dans lequel notre énergie se déploiera prochainement.

Depuis quelque temps, nous voyons se creuser l’abîme séparant ceux qui pensent par la Destruction, sans souci des hommes ou des lois, et ceux qui agissent pour le Retour à plus de vertu et d’authenticité. Dans chaque secteur d’activité, à quelque niveau que ce soit, ces deux interprétations de la réalité s’opposent ; l’une cherchant à consommer le monde jusqu’à ce qu’il sombre dans l’horreur, et l’autre essayant encore de trouver des solutions en conservant une vision optimiste et évolutive.

Mais les choix s’offrant à nous sont bien plus complexes que la Guerre ou la Paix, la consommation durable ou la décroissance. Les choix qui se présentent exigent que nous soyons capables de purifier les souvenirs et les choix faits par nos aïeux ; réactiver le passé pour que nous en fassions  « autre chose ». Pacifier nos êtres consistent à désactiver les points qui font obstacles à la paix, en nous-mêmes.

On pense parfois que l’éveil au ressenti des énergies subtiles est l’aboutissement de l’illumination, alors qu’il s’agit seulement du prélude. La montée de la Kundalini, la recherche du Samadhi, l’ouverture du 3éme œil, la conscience du cœur christique et de l’énergie sacrée des organes reproductifs ne sont que le commencement du véritable travail d’éveil à la Paix, à l’Harmonie, à la vision de la beauté et du Sacré. Cet ensemble d’étapes servent à ouvrir et raffiner notre conscience afin qu’elle soit capable de réintégrer le monde des boddhisattva, des Saints et des Maîtres.

L’autre grande étape est la Purification. Celle-ci n’est pas seulement l’ouverture à des concepts subtils ou vertueux mais consiste en l’acceptation d’une culpabilité – pas parce que nous en sommes les acteurs, les responsables- mais parce que nous faisons partie des Vivants et des Incarnés. Soit, ceux qui peuvent, par leur conscience, accepter d’endurer les souffrances physiques, affectives ou psychiques afin d’en transcender le sens et d’activer les perles de sagesse, les leçons que nous pouvons en tirer.

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