Je t’invite à entrer dans le cœur de toi-même pour
participer avec moi à une jolie expérience, si tu le veux bien. Tu
pourras la vivre à la fois pour toi et pour la Terre-Mère qui
t’accompagnera. Durant ces moments, je te propose de travailler pour
elle. Elle en fera autant pour toi.
Dans un premier temps, élève-toi intérieurement à partir
de la force du petit qui tu es. Ce petit qui tu es est toi dans cet
instant. Il est celui qui répond à un prénom particulier. Je te demande
de le prononcer à haute voix à chaque fois qu’apparaîtra les mots : ton
prénom.
« Moi, ton prénom, avec ma lumièreet mon ombre que j’accepte,Moi, ton prénom, avec les qualitésqui sont miennes et que j’accepte,Moi, ton prénom, avec les défautsqui sont miens et que j’accepte,Moi, ton prénom, avec le passéet le présent qui sont miens et que j’accepte,Je me transporte jusqu’au plan du petit qui je suis ».
Tout
doucement apparaît une sphère. Place-toi à l’intérieur. Tu n’y vois
aucune couleur, aucune luminescence… Sois simplement en son centre…
Tu remarques que, tout autour de toi, volant et
virevoltant, circulent en une ronde régulière de nombreux paquets… Il s
sont les fruits du petit qui tu es. Ils sont plus moins volumineux… Ils
contiennent tes expériences vécues depuis des éons de temps dans
l’incarnation… sur la Terre ou sur d’autres planètes…
Ne trouves-tu pas que ces nombreux petits et grands
paquets sont bien gênants pour voir au-delà ?… Au-delà de quoi ? Au-delà
du petit qui tu es… saisis-en maintenant un avec la conscience qu’il
est une partie de toi. Peu importe lequel ou sa taille. Tous sont le
résultat de tes existences et elles ont une valeur égale, qu’elles
furent belles ou moins belles selon ton propre jugement. Le tien
seulement. Tu te demandes ce que tu fais à l’intérieur de cette sphère
alors que je t’ai invité à me rejoindre et proposé de travailler pour la
Terre-Mère ? Quel triste terme que celui de travailler, n’est-ce pas ?
Disons plutôt que je te demande d’aimer ta planète…
J’ai tenu à ce que tu passes par cette sphère car je
voudrais, avant que tu aimes la Terre-Mère, te proposer non pas un
exercice, là encore ce n’est pas le terme qui convient, mais plutôt de
naître au Grand Qui tu es. Vois apparaître, face à toi, sur la paroi de
cette sphère, une porte. Imagine-la comme tu le souhaites et vois-la
s’ouvrir de la façon qui te convient. L’important n’est pas la porte, ni
ce qu’il y a au-delà, l’important c’est toi et le paquet que tu tiens
en ce moment.
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