Publié par Ginette Forget le 28 Jan, 2017 dans ART
DE LA PRÉSENCE, CHRONIQUES,
Ginette
Forget, MANCHETTES
De constater que le flot de la vie ne nous a jamais quitté, simplement que nous étions trop occupés pour le voir. Cette évidence m’émerveille encore et encore!
Lors des rencontres, j’aime voir les visages se détendre, les êtres se déposer et expérimenter cela.
Les voir arriver plein de questions et finalement glisser tendrement dans l’espace où il n’y a plus de questions.
C’est tellement doux lorsque nous prenons le temps de vivre cela : de se laisser être porté par la vie et de se reposer enfin.
Suite : http://lapressegalactique.com/2017/01/28/le-grand-paradoxe/
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