Porté à votre conscience par Arcturius,
L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie
intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude. L’ouverture du coeur
se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le coeur et le rend apte à
aimer.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses,
ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans
tendresse, sans générosité, sans affection. Coeurs secs. Psychorigides.
Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans
la banquise. Elles sont seules, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran
domestique. Ils ne comprennent pas les élans d’affection, les câlins, ils
critiquent la manie des bisous et des petits coeurs qui fleurissent et les
heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-coeur, dur de lui
envoyer de l’amour, dur de lui sourire.
L’absence de chaleur humaine est
communicative, les coeurs se glacent à ce contact glacial. Ces êtres
ressemblent à des robots. Privés de coeur, ils n’ont pas d’âme. Sans s’en
douter, ils ont perdu leur chemin.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être sans coeur est un être mortel. Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ? Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons toutes notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir. J’ai fait ma première sortie de corps consciente à l’âge de 16 ans.
Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os. Nous avons dans le coeur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.
Lire la suite sur : http://www.arcturius.org/chroniques/66526-2/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire