Transmis
par Joeliah le 20 - juin - 2015
Barbara
Hocquette : c’est important de commencer ses phrases par « je » et
encore plus de pouvoir se dire et se donner tout ce qui nous semble le meilleur
pour nous-mêmes.
Quand
on s’aime soi-même, on n’a pas besoin d’aller chercher midi à 14 heures. Bien
au contraire. On sait très bien quel chemin on doit prendre et si vraiment on
n’a pas encore fait assez d’expériences, on s’autorise tout simplement à aller
là où ça nous fait plaisir et surtout là où sait qu’on aura beaucoup d’émotions
positives.
Mais
parfois, ce n’est pas si facile car soit on vit avec des gens qui ne nous
comprennent pas du tout et qui aimeraient qu’on fasse tout comme eux, soit on
s’entoure soi-même de personnes qui ont besoin qu’on leur dise en permanence ce
qui est bon pour eux.
Mais
nous, dans l’histoire, on ne s’y retrouve plus du tout et quand on se perd dans
son propre corps et dans ses propres pensées et bien on oublie très souvent que
le verbe aimer se conjugue aussi à la première personne du passé : celui qu’on
veut parfois mettre de côté ou alors celui qu’on aimerait utiliser pour savoir
qui on est vraiment.
Avant,
on était bien une personne, quelqu’un qui avait des envies et surtout des
besoins. Alors pourquoi aujourd’hui pense-t-on qu’on doit partager nos desseins
et surtout oublier qu’avant le « nous » il y a surtout le
« je ».
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la suite ici : http://lejardindejoeliah.com/2015/06/20/saimer-a-la-premiere-personne-du-present/
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