L’empathie, cette hyper-sensibilité exacerbée, pourrait être assimilée à un germe planté et planqué au fin fond de l’ADN. Nombreux sont ceux qui la vivent et la ressentent dans leur quotidien et ce, souvent avec des personnes, dont un moment donné, on pourrait se demander – « mais pourquoi j’ai été attiré par ce groupe de personnes »
Certainement pour faire l’expérience au final de ce fameux « Qui se cache en toi, Toi mon grand Toi ». Car oui, la plupart du temps les empathes ont cette tendance (dans les débuts surtout) à croire qu’on aime s’auto-flageller à aimer les hameçons pour se faire piéger, aller pour en rajouter une couche bien connue, prendre le bâton pour se faire ?. . . et oui bravo se faire « » »battre » » ». . .
Cette envie d’aller tester ce plat qui pourtant, on le sait, n’a pas bon gout (même si enfant, on te disait : mais vas-y goûte, avant de dire que t’aime pas, rooooh mais que ce c’est que ces vilaines manières). Avec l’empathie, ça passe ou ça casse, ce fluide disons-le haut et fort, on l’a ou on ne l’a pas. Mais alors pourquoi forcer ces relations étranges ? Pourquoi ne pas écouter notre antenne intérieure et ce que notre corps nous envoie comme panneau indicateur à ce moment là . . . va savoir, va comprendre et va te connaitre pour en comprendre. . .
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