Publié par Sophie Riehl le 7 déc, 2013 sous CHRONIQUES, DE L'ESPRIT A LA PRATIQUE, MANCHETTES, Sophie Riehl |
Nous vivons notre vie la majorité du temps depuis notre point de vue.
Combien de fois, dans notre journée, pensons-nous à nous mettre à la
place de l’autre? A appréhender les évènements depuis son regard ? Et
même dans le bilan de nos journées, nous pouvons nous demander si nous
aurions pu nous comporter autrement, si nous aurions pu dire ceci, ou
cela … Alors, dans nos suppositions, nous aurions pu modifier la
situation (ah ! ces si). En fait, nous sommes habitués à envisager les
choses sous certaines conditions (d’où le résultat logique, nos
conditionnements), suivant un certain point de vue. Nous adoptons
rarement une vue d’ensemble, une vision globale. Ceci indique notre
degré d’ouverture (ou à l’inverse de fermeture) par rapport à la Vie.
Peut-être serait-il bon d’envisager davantage de détente intérieure,
de disponibilité, qui nous permettrait l’ouverture suffisante à de
nouvelles solutions. Cela transformerait nos appréhensions en
compréhensions. Pratiquer ce positionnement, c’est-à-dire se présenter à
l’autre, ou à une quelconque situation, dans une attitude d’ouverture
demande aussi de se détacher de l’attente d’un résultat et de ne rien
exiger. Cela n’est pas facile, nous avons souvent beaucoup de
revendications intérieures, issues de nos manques de reconnaissance.
Songez-y un instant … Si vous saviez vous reconnaître, dans vos talents,
dans vos ressources, dans vos qualités, vous n’auriez pas besoin d’en
chercher une confirmation extérieure, vous n’auriez pas de rôle à jouer,
pour plaire, ou ne pas déplaire. Vous seriez dans la certitude de votre
valeur.
Lire la suite ici : http://lapressegalactique.net/2013/12/07/de-lautre-cote-du-miroir/
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