Ainsi, le petit feu de camp deviendrait un véritable feu de forêt. Toutefois, nous savons désormais qu’il est hors de question de laisser aller nos pensées dans cette direction. Alors, nous faisons des efforts conscients pour faire taire notre narrateur intérieur qui veut nous persuader que nous sommes dans la merde ou que la situation est sans issue.
De ce fait, nous portons notre attention sur le résultat que nous désirons obtenir et sur le bonheur ou le soulagement qui en découlera. Nous nous mettons en mode de fabrication de nouvelles circonstances. Mais voilà qu’il y a ce malaise inextricable qui persiste; ce doute qui travaille fort pour ébranler les nouvelles pensées que nous essayons d’accueillir.
Suite : http://lapressegalactique.com/2018/02/19/nous-vivons-une-periode-difficile-mais-il-y-a-plus-forts-que-le-doute/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire