Publié par LaPresseGalactique.org le 27 Mar,
2017 dans CONSEIL
PRATIQUE
L’être humain vibre à une fréquence qui lui est
propre et en principe harmonisée avec celle de la Terre. On s’est rendu compte
que lorsque le niveau vibratoire de l’organisme baisse, l’individu est plus
enclin à développer des maladies. Voici ce que nous savons aujourd’hui de ce
phénomène.
Tout notre corps est formé d’énergie. Chaque
cellule est un mini-circuit oscillant comme l’ont démontré les admirables
travaux de Georges Lakhovsky il y a près d’un siècle. Les membranes cellulaires
présentent des charges négatives à l’intérieur et positives à l’extérieur
produites par des différences de concentration de minéraux (sodium et
potassium) entre les milieux intérieur et extérieur. Les charges électriques
constatées sont très importantes : elles sont de l’ordre de 106 volts par mètre
(V/m). C’est ensuite la moyenne des vibrations de toutes les cellules du corps
qui donne le taux vibratoire d’un individu.
On considère que la zone de bonne santé
correspond à un taux vibratoire moyen entre 7000 et 12500 Unités Bovis (UB)
mesuré par radiesthésie. Depuis plus de dix ans, on observe que le taux moyen a
tendance à augmenter vers 12.500.UB, voire 1000.000 UB. Un état qui porte pour
certaines personnes à la surexcitation, alors que pour d’autres elle conduit à
l’ouverture de l’esprit et de la conscience sur d’autres dimensions.
Malheureusement, la baisse de ces fréquences
vibratoires est beaucoup plus fréquente. Les causes proviennent d’un mode de
vie déséquilibré comme on le connaît trop bien dans notre société : stress,
alimentation industrielle, sédentarité, mauvaise respiration, tabac, drogue…
Mais entrent aussi en ligne de compte, les pensées négatives sur soi-même et
sur les autres, les perturbations géobiologiques des lieux de vie, les champs
électromagnétiques artificiels, la présence d’entités, de sangsues ou de trous
dans les corps énergétiques… Autant d’éléments qui pompent ou qui font perdre
les énergies de l’organisme.
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