Il n’est plus nécessaire aujourd’hui d’être pauvre pour
« aimer Dieu ». Le plus pauvre d’entre nous est parfois plus riche
que les plus riches d’antan.
Nous vivons de fait dans une abondance jamais
égalée. Nous vivons dans des conditions de confort et de sécurité physique que
nos ancêtres, qui devaient se défendre contre les bêtes féroces, les bandes
armées ou les maladies infectieuses peuvent nous envier.
Aujourd’hui,
l’essentiel de nos soucis s’appellent percepteur, éducation des enfants,
vacances, relations avec le patron. Cela veut dire que nos défis sont
différents. Nous devons continuer dans cette voie et savoir la gérer. Nous
devons gérer l’abondance. La gérer spirituellement.
Ce n’est pas si facile :
consommer à bon escient, refuser le superflu, sauvegarder l’environnement, ne
pas devenir capricieux comme des enfants gâtés, relativiser le bonheur et la
souffrance. C’est tout cela, l’équilibre matériel.
Faire en sorte de vivre dans
des conditions convenables, disposer de ce dont on a besoin au moment où on en
a besoin, ne pas s’inquiéter outre mesure, préserver l’avenir, pouvoir réaliser
ses projets.
C’est la prospérité.
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