Publié par Guilaine Lipski le 26 Avr, 2016 dans CHRONIQUES,
COEUR
À COEUR, Guilaine
Lipski, MANCHETTES
Celle où nous serions sereins et légers, capables de vivre, d’accueillir ce qui est, sans refus, sans opposition.
Je me suis beaucoup questionnée sur l’utilité d’écrire parce que je sais que tout apprenti-sage intégré provient d’une expérience personnelle, celle que nous créons, que la Vie nous envoie. Suggérer à une personne en souffrance d’accueillir ce qui est, ne lui permettra pas d’accueillir si elle n’est pas encore prête en l’instant à le vivre, à lâcher, à dire oui.
Accueillir est un cheminement intérieur. Au mieux les mots lui offriront une éventualité ou une ouverture ou la meilleure piste qui soit pour plus tard mais ils ne franchiront jamais les barrières intérieures en l’instant, si barrières il y a.
Mais les mots sèment des graines…. alors finalement ils sont utiles !
Accueillir demeure cependant le fruit d’un processus intérieur, un voyage qui commence avec la maladie, la perte, l’accident, le deuil, ensuite nous ferons comme nous pouvons et nous apprendrons à accueillir avec plus ou moins de facilités.
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