Publié par Guilaine Lipski le 17 Fév, 2016 dans CHRONIQUES,
COEUR
À COEUR, Guilaine
Lipski, MANCHETTES
Ainsi la boucle est bouclée et les jeux de rôles en place pour se sauver soi-même grâce à l’autre. Vision théorique dans une société qui ne favorise pas l’autonomie financière de chacun. Fait exprès ?
Le pire étant que face à une intolérable souffrance, bien souvent la personne n’a d’autre ressource que se replier sur elle-même et perdre le peu de capacités qu’il lui reste.
Idéalement celui ou celle qui souffre devrait se réveiller assez pour oser dire stop et se rebeller posément et froidement (pour ne pas perdre sa crédibilité) dans un juste retour au respect et à l’estime de soi….. Tandis que l’autre en vérité n’attend, inconsciemment, qu’une seule chose : qu’on lui pose des limites.
Et oui, nous autorisons l’autre à se comporter comme il le fait et il ira jusqu’où vous lui permettrez d’aller aussi longtemps que vous ne prendrez pas votre place !
Élémentaire mon cher Watson mais quels dégâts avant d’y parvenir…..montagnes russes de l’incarnation pour revenir à l’équilibre….ouf !
Heureusement nous savons tous que l’incarnation est un clignement de cils dans l’éternité n’est-ce-pas ? On se retrouvera et on se dira merci !
Suite : http://lapressegalactique.com/2016/02/17/les-violences-morales-partie-22/
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