Par Simon Leclerc
Écrit le 3 décembre 2014
Bonjour à vous tous,
Cela fait un certain temps que je n’ai pas partagé de nouveaux enseignements via le site Internet (je suis toujours très actif au niveau des accompagnements individuels) et il me fait plaisir de venir vers vous aujourd’hui afin de présenter la «guérison profonde» sous un angle différent. J’attendais de ressentir cet «appel» afin de vous offrir un enseignement qui saura, je le souhaite, stimuler chacun sur son parcours évolutif individuel.
D’abord, comprenons ensemble qu’il existe d’innombrables approches d’interventions physiques et psychiques qui ont un effet mesurable sur le corps physique. En écrivant ce message, mon intention n’est pas de comparer ni d’évaluer ces formes de soins, mais de vous présenter ma propre compréhension des mécanismes qui entrainent la guérison profonde.
Mon but est de collaborer à ce que les transformations aient lieu dans tous les aspects de l’Être, et non uniquement dans sa dimension physique. Car si la source d’un problème vécu dans la matière n’est pas comprise et transmutée, sa partie visible, soit la problématique en tant que telle, se représentera, avec quelques variantes près ou sous la même forme. Tant et aussi longtemps que le message/enseignement n’est pas intégré dans la physicalité, l’obstacle demeure.
Les déséquilibres
Les déséquilibres du corps physique, de la psyché ou de la vie courante (les situations «extérieure à nous» ne sont jamais vraiment séparées de nous) sont les reflets d’un déséquilibre plus subtils qui se situe dans les dimensions souvent moins conscientes de notre Être.
Pour bien comprendre le procédé, imaginons ensemble des bassins versants qui communiquent les uns avec les autres via un réseau de petits canaux. Visualisons trois bassins, dont le plus haut serait associé au corps émotionnel, le second associé au corps mental et le plus bas au corps physique ou éthérique. Quand une problématique existe dans le corps physique, le corps éthérique la porte également. Ils sont en lien direct, ce sont des copies conformes l’un et l’autre. C’est pourquoi nous les présentons en corrélation directe.
Dans notre exemple, le bassin du bas, vibratoirement le plus dense, est celui qui nous apparaît le plus concret et que nous associons directement à l’incarnation. Mais celui-ci est relié en permanence aux autres bassins plus subtils qui composent l’Être incarné que nous sommes. Tous ces corps sont associés à l’incarnation.
Nettoyer l’eau
Plusieurs approchent thérapeutiques (physiques ou psychiques) consistent à «nettoyer l’eau» qui est directement liée au corps physique, soit celle contenue dans le bassin du bas. Durant le processus de guérison, plus la purification de cette eau s’effectuera de façon soutenue, intense et efficace, plus des résultats concrets auront lieu. Et une fois le «nettoyage» terminé, l’eau redeviendra effectivement claire… pour un temps.
Pourquoi? Parce que les bassins du haut continueront de déverser leur eau polluée en aval. Invariablement et tôt ou tard, l’eau contenue dans le bassin du bas se recontaminera. Plusieurs y voient là une forme d’acharnement divin ou un «hasard» qui ne les épargne pas. Mais en vérité, la plupart des problématiques physiques prennent leurs sources dans les «bassins du haut», pour ensuite, avec le temps, venir se cristalliser dans le corps physique. S’ils ne sont pas nettoyés, la transformation restera temporaire.
La guérison profonde aura lieu lorsque tous les bassins seront purifiés et que les cellules du corps physique seront reconditionnées, lorsque celles-ci auront rétabli une saine circulation énergétique qui les relie à la vie sur Terre et dans l’Univers.
Transmuter les blocages
J’aimerais souligner ici que le terme «guérison» fait référence à la transmutation de tous les types de blocages vécus dans l’incarnation, qu’ils soient liés à un organe physique ou associés à des patterns, des impasses, des blocages, des peurs ou autres. Pour moi, tout ce qui nous empêche d’être libre et créateur de notre vie est associé à une stagnation d’énergie. Nous nommons «maladies» celles qui affectent plus directement les cellules du corps physique, mais en vérité, ces blocages affectent aussi la psyché. Ils nous amènent à percevoir notre environnement avec certaines «lunettes» que nous portons souvent sans le savoir, et la vie se charge alors de nous refléter cette réalité que nous avons acceptée comme étant la vérité.
Concrètement, cette vision globale de l’Être humain implique que certains aspects de nous soient inconscients, et par conséquent, plus difficiles à comprendre. Autrement, il nous serait facile de tout guérir en questionnant simplement notre Être profond sur la nature d’un problème. Il est certes possible de poser la question, mais la réponse est plus difficile capter, du moins dans notre dimension, car les saboteurs intérieurs, les résistances, les ressentiments, les peurs et tout un ensemble de conditionnements viennent court-circuiter le processus et brouiller le message. En d’autres termes, les réponses sont toujours disponibles, mais les voiles qui nous empêchent de les entendre sont également présents.
Choisir notre propre vérité
Vivre en équilibre dans la 3e dimension implique nécessairement qu’il y ait une forme de discernement, car nous côtoyons continuellement l’ombre et la lumière, l’évolution et l’involution, le bien, le mal, etc. J’ai souvent mentionné qu’en vérité, ces éléments ne s’opposent pas, ils se stimulent les uns les autres afin de nous amener à choisir notre propre vérité, celle qui correspond à nos aspirations les plus profondes.
Il est évident que la guerre n’est pas nécessaire à l’évolution. Sans faire son éloge, elle permet à tout le moins à chacun de choisir de nourrir la paix à l’intérieur de lui et à l’extérieur. Quand ses relations s’enveniment, un Être pourra alors choisir de les pacifier, car il comprend que l’harmonie en lui et autour de lui nourrit l’harmonie planétaire.
Les Êtres qui choisissent le parcours de l’ombre (pour un temps – car tout revient tôt ou tard à la lumière) le comprennent très bien. Ils savent que plus ils entretiennent des conditions de vie difficiles sur Terre, plus ils éveillent des enjeux de survie, d’opposition et de conflits intérieurs. Ils déstabilisent ainsi l’équilibre en perpétuant l’individualisme et la séparation, ce qui est contraire à notre nature profonde.
Mais il faut se rappeler que l’ombre est l’absence de lumière. En soit, elle n’existe pas, elle n’a aucun pouvoir réel. Quand la lumière revient, l’ombre est aussitôt absorbée. Les jugements que nous entretenons envers elle ne font que la nourrir, car elle s’alimente des pulsions guerrières et des oppositions de chacun.
Ceux qui choisissent l’ombre, consciemment ou inconsciemment, le font parce qu’ils ont peur. Ce choix est respecté au niveau universel, mais ce n’est pas une véritable décision. Elle est prise sans avoir toutes les données en main, puisque les Êtres qui la choisissent ont oublié leur nature véritable.
Cela fait un certain temps que je n’ai pas partagé de nouveaux enseignements via le site Internet (je suis toujours très actif au niveau des accompagnements individuels) et il me fait plaisir de venir vers vous aujourd’hui afin de présenter la «guérison profonde» sous un angle différent. J’attendais de ressentir cet «appel» afin de vous offrir un enseignement qui saura, je le souhaite, stimuler chacun sur son parcours évolutif individuel.
D’abord, comprenons ensemble qu’il existe d’innombrables approches d’interventions physiques et psychiques qui ont un effet mesurable sur le corps physique. En écrivant ce message, mon intention n’est pas de comparer ni d’évaluer ces formes de soins, mais de vous présenter ma propre compréhension des mécanismes qui entrainent la guérison profonde.
Mon but est de collaborer à ce que les transformations aient lieu dans tous les aspects de l’Être, et non uniquement dans sa dimension physique. Car si la source d’un problème vécu dans la matière n’est pas comprise et transmutée, sa partie visible, soit la problématique en tant que telle, se représentera, avec quelques variantes près ou sous la même forme. Tant et aussi longtemps que le message/enseignement n’est pas intégré dans la physicalité, l’obstacle demeure.
Les déséquilibres
Les déséquilibres du corps physique, de la psyché ou de la vie courante (les situations «extérieure à nous» ne sont jamais vraiment séparées de nous) sont les reflets d’un déséquilibre plus subtils qui se situe dans les dimensions souvent moins conscientes de notre Être.
Pour bien comprendre le procédé, imaginons ensemble des bassins versants qui communiquent les uns avec les autres via un réseau de petits canaux. Visualisons trois bassins, dont le plus haut serait associé au corps émotionnel, le second associé au corps mental et le plus bas au corps physique ou éthérique. Quand une problématique existe dans le corps physique, le corps éthérique la porte également. Ils sont en lien direct, ce sont des copies conformes l’un et l’autre. C’est pourquoi nous les présentons en corrélation directe.
Dans notre exemple, le bassin du bas, vibratoirement le plus dense, est celui qui nous apparaît le plus concret et que nous associons directement à l’incarnation. Mais celui-ci est relié en permanence aux autres bassins plus subtils qui composent l’Être incarné que nous sommes. Tous ces corps sont associés à l’incarnation.
Nettoyer l’eau
Plusieurs approchent thérapeutiques (physiques ou psychiques) consistent à «nettoyer l’eau» qui est directement liée au corps physique, soit celle contenue dans le bassin du bas. Durant le processus de guérison, plus la purification de cette eau s’effectuera de façon soutenue, intense et efficace, plus des résultats concrets auront lieu. Et une fois le «nettoyage» terminé, l’eau redeviendra effectivement claire… pour un temps.
Pourquoi? Parce que les bassins du haut continueront de déverser leur eau polluée en aval. Invariablement et tôt ou tard, l’eau contenue dans le bassin du bas se recontaminera. Plusieurs y voient là une forme d’acharnement divin ou un «hasard» qui ne les épargne pas. Mais en vérité, la plupart des problématiques physiques prennent leurs sources dans les «bassins du haut», pour ensuite, avec le temps, venir se cristalliser dans le corps physique. S’ils ne sont pas nettoyés, la transformation restera temporaire.
La guérison profonde aura lieu lorsque tous les bassins seront purifiés et que les cellules du corps physique seront reconditionnées, lorsque celles-ci auront rétabli une saine circulation énergétique qui les relie à la vie sur Terre et dans l’Univers.
Transmuter les blocages
J’aimerais souligner ici que le terme «guérison» fait référence à la transmutation de tous les types de blocages vécus dans l’incarnation, qu’ils soient liés à un organe physique ou associés à des patterns, des impasses, des blocages, des peurs ou autres. Pour moi, tout ce qui nous empêche d’être libre et créateur de notre vie est associé à une stagnation d’énergie. Nous nommons «maladies» celles qui affectent plus directement les cellules du corps physique, mais en vérité, ces blocages affectent aussi la psyché. Ils nous amènent à percevoir notre environnement avec certaines «lunettes» que nous portons souvent sans le savoir, et la vie se charge alors de nous refléter cette réalité que nous avons acceptée comme étant la vérité.
Concrètement, cette vision globale de l’Être humain implique que certains aspects de nous soient inconscients, et par conséquent, plus difficiles à comprendre. Autrement, il nous serait facile de tout guérir en questionnant simplement notre Être profond sur la nature d’un problème. Il est certes possible de poser la question, mais la réponse est plus difficile capter, du moins dans notre dimension, car les saboteurs intérieurs, les résistances, les ressentiments, les peurs et tout un ensemble de conditionnements viennent court-circuiter le processus et brouiller le message. En d’autres termes, les réponses sont toujours disponibles, mais les voiles qui nous empêchent de les entendre sont également présents.
Choisir notre propre vérité
Vivre en équilibre dans la 3e dimension implique nécessairement qu’il y ait une forme de discernement, car nous côtoyons continuellement l’ombre et la lumière, l’évolution et l’involution, le bien, le mal, etc. J’ai souvent mentionné qu’en vérité, ces éléments ne s’opposent pas, ils se stimulent les uns les autres afin de nous amener à choisir notre propre vérité, celle qui correspond à nos aspirations les plus profondes.
Il est évident que la guerre n’est pas nécessaire à l’évolution. Sans faire son éloge, elle permet à tout le moins à chacun de choisir de nourrir la paix à l’intérieur de lui et à l’extérieur. Quand ses relations s’enveniment, un Être pourra alors choisir de les pacifier, car il comprend que l’harmonie en lui et autour de lui nourrit l’harmonie planétaire.
Les Êtres qui choisissent le parcours de l’ombre (pour un temps – car tout revient tôt ou tard à la lumière) le comprennent très bien. Ils savent que plus ils entretiennent des conditions de vie difficiles sur Terre, plus ils éveillent des enjeux de survie, d’opposition et de conflits intérieurs. Ils déstabilisent ainsi l’équilibre en perpétuant l’individualisme et la séparation, ce qui est contraire à notre nature profonde.
Mais il faut se rappeler que l’ombre est l’absence de lumière. En soit, elle n’existe pas, elle n’a aucun pouvoir réel. Quand la lumière revient, l’ombre est aussitôt absorbée. Les jugements que nous entretenons envers elle ne font que la nourrir, car elle s’alimente des pulsions guerrières et des oppositions de chacun.
Ceux qui choisissent l’ombre, consciemment ou inconsciemment, le font parce qu’ils ont peur. Ce choix est respecté au niveau universel, mais ce n’est pas une véritable décision. Elle est prise sans avoir toutes les données en main, puisque les Êtres qui la choisissent ont oublié leur nature véritable.
Lire cet article, très intéressant sur le site : http://psychologiedelame.com/message-03-12-14.html
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