Publié par Lydia le 30 oct, 2013 sous CHRONIQUES, DIVIN COMME LES AUTRES, Lydia, MANCHETTES |
Depuis hier après midi, c’est le cirque au niveau énergétique ! Enfin
depuis deux jours, ça balance entre une dimension de paix et
d’enthousiasme le matin et une autre de conflit, de dualité intérieure
qui se reflète évidemment à l’extérieur. Comme j’ai voulu réajuster les
doses de médicaments, il y a des émotions habituellement enfouies, comme
tapies dans l’ombre, qui surgissent et comme je n’ai pas l’habitude d’y
faire face, c’est un peu la panique au premier abord. Heureusement, je
ne suis plus submergée comme avant ! Cependant, ça entraine encore de la
culpabilité et de la peur. Peur d’être la proie d’entités négatives,
d’être manipulée ou d’être désagréable avec les autres.
J’ai répondu à des mails de façon plutôt directe, sans faire preuve
de patience et la culpabilité s’est installée. Puis, je me suis dit, tu
ne peux pas continuer à croire qu’il te faille adopter une attitude
particulière pour aller vers l’autre. Ce serait du fayotage, du
reniement, ce n’est pas de l’amour véritable de soi ni de l’autre
d’ailleurs, ça n’est que du conformisme, de la complaisance à la limite
de la condescendance.
Il est beaucoup plus facile d’être en lien quand la paix est en soi
que quand la colère monte. J’ai traité ces émotions discordantes avant
d’écrire et ma façon de dire mes besoins, n’a pas été balancée pour
blesser l’autre mais seulement pour poser mes limites. La façon dont ça
sera reçu ne me concerne pas finalement. C’est toujours selon notre
propre état d’esprit que nous interprétons ce que nous recevons. La
seule chose que je sache, c’est qu’en commençant par avoir de l’amour et
du respect pour soi-même, l’autre nous le renvoie.
Poser des limites a souvent été un problème pour moi. C’est comme si
je croyais que je devais faire passer les besoins des autres avant les
miens. Les vies passées au « service du monde » ont certainement affecté
mon point de vue actuel. Mais il n’est jamais trop tard pour bien
faire. Arriver à s’aimer tout en disant ce que l’on veut, implique de ne
pas craindre d’être désavoué par l’autre. Si on a peur d’être rejeté
pour notre sincérité, c’est que le besoin de reconnaissance extérieure
est plus fort que l’amour de soi. Or ce ne sont pas les autres qui
peuvent nourrir cet amour, c’est à nous de le faire. Et ça implique
d’affirmer ses propres besoins, sans honte, peur ou culpabilité.
À lire sur : http://lapressegalactique.net/2013/10/30/nous-ne-vivons-rien-par-hasard-et-nous-avons-toujours-lenergie-de-la-solution-en-meme-temps-que-le-probleme-cest-livre-avec/
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