Inelia Benz
Le cycle de victime/agresseur est un autre lien dans la chaîne de l’asservissement.
C’est à ce point si grave que la plupart des gens sont complètement
inconscients que leur vie est un cycle constant où ils ont soit le rôle
de la victime ou celui de l’agresseur.
Dans le rôle de la victime, ils ont, bien sûr, quelqu’un ou quelque
chose à blâmer pour ce qui leur arrive. Et dans le rôle de l’agresseur,
ils ont, eux aussi, un blâme à donner ou à recevoir.
Et l’énergie du « sauveur » est attachée à un tel cycle.
Avant ma naissance et jusqu’à mes 30 ans, j’ai expérimenté beaucoup
d’agressions physique, émotionnelle et psychologique. Cela était fort
bien orchestré et persistant. Le but était soit de m’asservir en tant
qu’agresseur ou victime, ou bien de me provoquer. Cela n’a pas
fonctionné car je ne me suis jamais identifiée dans aucun de ces rôles.
Ce n’était simplement qu’une expérience.
Il y avait des moments où la douleur était tellement atroce que je
décidais de mourir. J’ai alors appris deux choses. L’une étant que mon
Soi supérieur n’allait pas me laisser mourir ; et l’autre, que tout ce
que j’avais à faire était d’arrêter l’agresseur soit en m’écartant de la
situation ou en le retirant de mon environnement. Ce qui n’était pas
une option était de me livrer à leur jeu soit en me sentant être la
victime, laissant ainsi poursuivre l’agression, ou soit en devenant
l’agresseur.
Les rôles de victime/agresseur sont encodés afin que l’un cherche
l’autre et engage les autres dans le jeu de la victime et de
l’agresseur, tant inconsciemment que consciemment. Mais ce n’est que ça.
Un jeu. Pas de jugement.
Au fur et mesure que nous avançons dans le nouveau paradigme, il
importe beaucoup de s’apercevoir que nous sommes responsables de notre
expérience sur la planète et dans l’au-delà., que c’est nous qui
décidons ce avec quoi on est d’accord ou en désaccord. Il en est de même
pour les « victimes » et pour les « agresseurs ».
Lorsqu’ils lisent cela, plusieurs individus pensent : « et qu’en
est-il de cet enfant innocent qui fut violé et assassiné ? Il/elle n’a
pas choisit ça !»
Il y a bien des épaisseurs à cette idée-là. L’une est que si on pense
cela, on affirme que l’enfant n’est pas une entité complète, divine,
qui a choisi de venir sur Terre pour avoir cette expérience avec
l’auteur du crime. On se déclare alors supérieur à cet enfant ayant sa
propre singularité.
Et l’autre épaisseur est qu’en envoyant l’énergie de « victime » à
cet enfant (vivant ou mort), on renforce alors la cage de la
« victimisation » dans la vie de cette entité, rendant ainsi plus
difficile encore pour lui ou pour elle, la possibilité de sortir de ce
cycle. La même chose s’applique à la personne qui commet le crime.
En pensant à l’autre comme étant victime, on abaisse leur taux vibratoire.
Néanmoins l’autre épaisseur à cette idée est qu’en effet, à un
certain niveau, nous avons tous choisi de s’incarner et d’oublier que
nous sommes sans limites et divins ; que nous sommes aussi d’accord pour
entrer sur une planète ayant une très puissante structure de
victime/agresseur. Vous n’avez qu’à regarder une émission de télévision
et verrez à quel point ce programme prévaut sur la planète. Ceci
renforce notre accord en « expérimentant » ce genre de situation, soit
en tant que participant ou comme « observateur ».
À lire sur : http://lapressegalactique.net/2013/10/02/je-suis-une-victime-un-lien-dans-la-chaine-de-lasservissement-2/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire