Porté à votre conscience par Arcturius,
Un amour qui naît de manière naturelle et auquel nous ne renonçons jamais, même si elle n’est plus ou si sa présence est nocive, voire dangereuse pour l’enfant.
Il y a toujours un fil invisible qui d’une manière ou d’une autre nous relie à notre mère.
La psychanalyste Judit Viorst raconte dans l’un de ses livres un cas terrible. Un enfant de trois ans qui avait été arrosé à l’alcool par sa mère qui lui mit le feu, ce qui est totalement inconcevable.
Dans la salle de soins intensifs, le petit ne voulait qu’une chose : qu’elle vienne le prendre dans ses bras. Ce lien primitif est extrêmement fort.
Quoiqu’il arrive, nous aimons notre mère. Au début de la vie, nous préférons n’importe quelle autre souffrance plutôt que d’avoir à souffrir de son absence.
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