« Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend
pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce
que nous possédons ». Arnaud Desjardins
Quelles sont nos limites ?
par Samira Piana
Seules nos croyances nous limitent lorsqu’elles sont négatives.
Rappelons-nous ce qu’est une croyance.
Ce sont nos convictions, nos certitudes, nos a priori. Elles sont fondées sur nos expériences, mais aussi sur les préjugés.
Elles se présentent à nous sous la forme d’une pensée que nous avons construite nous-mêmes. En nous, elle est intimement vraie, elle sonne juste. Au quotidien, nous nous en servons comme un repère, une vérité fondamentale. C’est en cela que ces croyances spécifiquement limitantes deviennent des freins à notre évolution.
Il apparaît trois types de croyances :
- les croyances sur soi. « Je suis quelqu’un de timide » ou « le bonheur dépend de ce que l’autre peut m’apporter » retentit sur les autres et la vie.
- Sur les autres : « Les fonctionnaires sont paresseux ».
- Sur la vie : « c’est dur de nos jours de gagner sa vie ».
Des exemples de croyances :
« Je suis timide ». Il existe des timides qui ont une sacrée force de caractère et qui prennent la parole en public.
« C’est du regard des autres que dépend mon épanouissement, ma présence… »
Si ce fameux regard est blessant ou inexistant, la croyance crée un blocage puissant. La personne doit vite avoir conscience de son état émotionnel et se mette au contact de qui elle est. Sinon, cela signifie qu’elle laisse le soin aux autres de jouer de ses émotions.
Certes, d’emblée nous ne pouvons changer nos valeurs, mais nous pouvons profondément modifier nos croyances. Et c’est à ce moment là, que notre échelle de valeurs pourra évoluer. Par exemple, une personne qui a vécu un accident cardiaque ou une autre maladie, est en mesure d’expliquer que désormais, sa santé qui passait au second plan auparavant, est relayée au premier plan aujourd’hui.
Modifier sa croyance…
Il s’agit de faire preuve de bon sens, de voir large, très large, d’ouvrir grand notre perception du monde, de se décloisonner. C’est en se mettant au contact de son Moi Supérieur, en prenant conscience de ce qui se joue dans l’instant présent et prendre une bonne bouffée d’air frais, au sens propre comme au figuré qui nous recadrera. Nous sommes tous des humains respectables, nous avons tous en nous cet Etre Divin qui sait que sa valeur est grande. Nous savons que notre pouvoir créatif est sans limite et que chaque barrière que notre mental décide de monter, constitue un frein à notre évolution. Soyons objectifs et regardons en nous. Envisageons de grandir et de nous défaire des nœuds.
Rassurons-nous, il existe bien des croyances positives. Celles-ci apparaissent lorsque le processus de changement est en marche. Elles deviennent les croyances qui nous portent, celles qui nous stimulent. « Oui, j’en ai très envie de ce nouveau poste. Oui ! Je décide de passer à l’action pour le changement et j’en suis capable. »
Quels sont les composantes qui permettent l’atteinte du résultat ?
- l’envie du résultat imaginé, réfléchi,
- la confiance en soi pour mener à bien la mission,
- l’évaluation de soi, en cours de mission en ayant un regard objectif et permissif,
- la croyance que c’est possible « j’en suis capable »,
- le sens des responsabilités.
Dans tout projet de vie, il est essentiel que l’objectif soit écologique. Il s’agit de respecter son système familial, professionnel, social. Il est important de ressentir en quoi il est réaliste et réalisable.
Ces quelques notions que l’on nomme « croyances et changements » font quelques fois ressentir le besoin de les travailler plus en profondeur.
Chacun peut regarder sa vie, en toute objectivité, nul n’est épargné par ce qu’il a à surmonter individuellement ou collectivement. Il est nécessaire de toujours commencer par soi, avant même de porter un jugement sur autrui. Chaque personne croisée au cours de son existence et qui nous renvoie une émotion est là pour nous montrer ce que l’on doit travailler en soi. Faire le constat d’une situation, d’une émotion, d’un comportement, d’une croyance, contribue déjà à lever une partie du voile de notre vie.
Ne nous alarmons pas, même si nous devons assumer plusieurs problématiques à la fois, il y a toujours un signe qui nous montre celle à gérer en premier lieu. Oui c’est bien ainsi. Mais ce signe, quelques fois, nous dérange. Même si il nous interpelle, on ne souhaite pas plus le regarder. Oui la vérité est quelques fois troublante. Que s’est-il passé après ce signe ? Ni plus, ni moins que la réaction attendue (mais pas attendue de si tôt) à la situation. « Je ne m’occupe pas de ce que je dois gérer, de ce qui ne me convient pas parce que je ne sais pas lire les signes ou plutôt je ne veux pas les regarder et que je n’arrive plus à passer à l’action » ou autre chose qui nous montre à quel point, c’est le moment d’AGIR.
Alors voilà comment une situation se détériore. L’Homme a besoin d’aller au profond d’une situation critique, d’essayer avec son mental, son Ego. Sans cela il aurait l’impression de ne pas savoir faire ses choix.
Qui décide au final ? Qui paie le prix fort d’émotions tumultueuses ? Et combien de temps pour se remettre du chaos ? Nous n’avons plus le temps de tourner autour du pot. Cette fin d’année nous montre à quelle vitesse les événements s’enchaînent, à quelle vitesse le phénomène Action/Réaction ne laisse plus de répit. De plus en plus vite, de plus en plus fort, une sensation étourdissante que cela aille bien ou mal dans sa vie. Comme pris dans un tourbillon d’énergies neuves auxquelles il s’agit de s’ajuster, de prendre la forme, en lâchant … cet éternel passé, cet infini tourment.
Ecoutons mieux encore.
Chaque signe a sa signification pour ce que l’on a à vivre. Apprenons à décoder.
C’est pour notre évolution personnelle.
Mais aussi pour l’évolution humaine.
C’est pour nous guérir.
Et nous aider à avancer.
Alors lorsque c’est douloureux, et que la conscience se pose sur l’instant présent, sachons dire MERCI.
Pour mieux connaître ou communiquer avec Samira cliquer sur L'ETRE EN CHEMIN
Source: LaPresseGalactique.com
Quelles sont nos limites ?
par Samira Piana
Seules nos croyances nous limitent lorsqu’elles sont négatives.
Rappelons-nous ce qu’est une croyance.
Ce sont nos convictions, nos certitudes, nos a priori. Elles sont fondées sur nos expériences, mais aussi sur les préjugés.
Elles se présentent à nous sous la forme d’une pensée que nous avons construite nous-mêmes. En nous, elle est intimement vraie, elle sonne juste. Au quotidien, nous nous en servons comme un repère, une vérité fondamentale. C’est en cela que ces croyances spécifiquement limitantes deviennent des freins à notre évolution.
Il apparaît trois types de croyances :
- les croyances sur soi. « Je suis quelqu’un de timide » ou « le bonheur dépend de ce que l’autre peut m’apporter » retentit sur les autres et la vie.
- Sur les autres : « Les fonctionnaires sont paresseux ».
- Sur la vie : « c’est dur de nos jours de gagner sa vie ».
Des exemples de croyances :
« Je suis timide ». Il existe des timides qui ont une sacrée force de caractère et qui prennent la parole en public.
« C’est du regard des autres que dépend mon épanouissement, ma présence… »
Si ce fameux regard est blessant ou inexistant, la croyance crée un blocage puissant. La personne doit vite avoir conscience de son état émotionnel et se mette au contact de qui elle est. Sinon, cela signifie qu’elle laisse le soin aux autres de jouer de ses émotions.
Certes, d’emblée nous ne pouvons changer nos valeurs, mais nous pouvons profondément modifier nos croyances. Et c’est à ce moment là, que notre échelle de valeurs pourra évoluer. Par exemple, une personne qui a vécu un accident cardiaque ou une autre maladie, est en mesure d’expliquer que désormais, sa santé qui passait au second plan auparavant, est relayée au premier plan aujourd’hui.
Modifier sa croyance…
Il s’agit de faire preuve de bon sens, de voir large, très large, d’ouvrir grand notre perception du monde, de se décloisonner. C’est en se mettant au contact de son Moi Supérieur, en prenant conscience de ce qui se joue dans l’instant présent et prendre une bonne bouffée d’air frais, au sens propre comme au figuré qui nous recadrera. Nous sommes tous des humains respectables, nous avons tous en nous cet Etre Divin qui sait que sa valeur est grande. Nous savons que notre pouvoir créatif est sans limite et que chaque barrière que notre mental décide de monter, constitue un frein à notre évolution. Soyons objectifs et regardons en nous. Envisageons de grandir et de nous défaire des nœuds.
Rassurons-nous, il existe bien des croyances positives. Celles-ci apparaissent lorsque le processus de changement est en marche. Elles deviennent les croyances qui nous portent, celles qui nous stimulent. « Oui, j’en ai très envie de ce nouveau poste. Oui ! Je décide de passer à l’action pour le changement et j’en suis capable. »
Quels sont les composantes qui permettent l’atteinte du résultat ?
- l’envie du résultat imaginé, réfléchi,
- la confiance en soi pour mener à bien la mission,
- l’évaluation de soi, en cours de mission en ayant un regard objectif et permissif,
- la croyance que c’est possible « j’en suis capable »,
- le sens des responsabilités.
Dans tout projet de vie, il est essentiel que l’objectif soit écologique. Il s’agit de respecter son système familial, professionnel, social. Il est important de ressentir en quoi il est réaliste et réalisable.
Ces quelques notions que l’on nomme « croyances et changements » font quelques fois ressentir le besoin de les travailler plus en profondeur.
Chacun peut regarder sa vie, en toute objectivité, nul n’est épargné par ce qu’il a à surmonter individuellement ou collectivement. Il est nécessaire de toujours commencer par soi, avant même de porter un jugement sur autrui. Chaque personne croisée au cours de son existence et qui nous renvoie une émotion est là pour nous montrer ce que l’on doit travailler en soi. Faire le constat d’une situation, d’une émotion, d’un comportement, d’une croyance, contribue déjà à lever une partie du voile de notre vie.
Ne nous alarmons pas, même si nous devons assumer plusieurs problématiques à la fois, il y a toujours un signe qui nous montre celle à gérer en premier lieu. Oui c’est bien ainsi. Mais ce signe, quelques fois, nous dérange. Même si il nous interpelle, on ne souhaite pas plus le regarder. Oui la vérité est quelques fois troublante. Que s’est-il passé après ce signe ? Ni plus, ni moins que la réaction attendue (mais pas attendue de si tôt) à la situation. « Je ne m’occupe pas de ce que je dois gérer, de ce qui ne me convient pas parce que je ne sais pas lire les signes ou plutôt je ne veux pas les regarder et que je n’arrive plus à passer à l’action » ou autre chose qui nous montre à quel point, c’est le moment d’AGIR.
Alors voilà comment une situation se détériore. L’Homme a besoin d’aller au profond d’une situation critique, d’essayer avec son mental, son Ego. Sans cela il aurait l’impression de ne pas savoir faire ses choix.
Qui décide au final ? Qui paie le prix fort d’émotions tumultueuses ? Et combien de temps pour se remettre du chaos ? Nous n’avons plus le temps de tourner autour du pot. Cette fin d’année nous montre à quelle vitesse les événements s’enchaînent, à quelle vitesse le phénomène Action/Réaction ne laisse plus de répit. De plus en plus vite, de plus en plus fort, une sensation étourdissante que cela aille bien ou mal dans sa vie. Comme pris dans un tourbillon d’énergies neuves auxquelles il s’agit de s’ajuster, de prendre la forme, en lâchant … cet éternel passé, cet infini tourment.
Ecoutons mieux encore.
Chaque signe a sa signification pour ce que l’on a à vivre. Apprenons à décoder.
C’est pour notre évolution personnelle.
Mais aussi pour l’évolution humaine.
C’est pour nous guérir.
Et nous aider à avancer.
Alors lorsque c’est douloureux, et que la conscience se pose sur l’instant présent, sachons dire MERCI.
Pour mieux connaître ou communiquer avec Samira cliquer sur L'ETRE EN CHEMIN
Source: LaPresseGalactique.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire